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Comment lancer ta stratégie d'employee advocacy, en 3 étapes.

De la part d'une équipe qui fait +250 000 vues/mois sur Linkedin.

Hello,

Bienvenue dans l’édition #11 de Co-postons ! : la newsletter qui t’apprend comment créer du contenu en équipe sur Linkedin.

Si tu reçois cette newsletter, c’est que tu as téléchargé linktime : l’outil pour connaître la meilleure heure pour publier sur LinkedIn.

Mais ce n’est pas notre outil principal.

On a aussi lancé copost :

L’outil pour mettre en lumière ton entreprise sur LinkedIn, grâce à l’aide de ton équipe.

Et chacune de ces newsletters est un mini-cours pour t’aider, toi et ton équipe, à apprendre comment créer du contenu sur le réseau social le plus rentable en B2B.

Si tu penses que tu n’es pas la cible, tu peux te désabonner grâce au bouton tout en bas du mail.

Et sinon, cette semaine :

On t’explique comment mettre en place ton programme d’employee advocacy avec ton équipe : les 3 pré-requis indispensables à respecter, et les 3 étapes à suivre.

Avec bien sûr, nos petits conseils et anecdotes personnels. Puisque l’on publie tous ensemble (on est 7), depuis bientôt 6 mois !

Bonne lecture,

Malaury, la ghostwriter de copost 👻

Cette semaine :

Les pré-requis indispensables

→ Toutes les entreprises ne peuvent pas lancer un programme d’employee advocacy !


En lançant copost, on a proposé d’aider gratuitement nos premiers clients à créer le leur.

C’est de cette manière que l’on a pu observer 3 pré-requis indispensables pour lancer un tel programme qui dépendent de l’entreprise elle-même et qu’un accompagnement peut difficilement changer.

Si ton entreprise ne respecte pas l’un d’eux, il sera très difficile pour toi et ton équipe d’obtenir des résultats et de tenir le programme sur le long terme.

#1 - Un fondateur qui poste

L’initiative d’une stratégie d’employee advocacy part généralement du fondateur. Mais comment demander à ses employés de consacrer du temps et de la charge mentale à Linkedin, s’il ne le fait pas lui-même ?

S’ils partent de 0, ils seront assaillis par plein de peurs et de doutes qui les empêcheront d’oser se lancer. Un leader qui ne publie pas lui-même leur donne raison.

C’est pourquoi, si tu es fondateur, tu dois montrer l’exemple. Pour montrer à tes employés qu’ils peuvent dépasser chaque obstacle et que ça en vaut la peine.

Par exemple, ceux qui hésitent auront sûrement ce blocage : “je n’ai pas le temps”. Si tu ne publies pas, tu ne pourras pas répondre : “si je trouve le temps, tu peux le trouver aussi”.

À toi de paver la voie sur laquelle ils marcheront !

#2 - Des employés motivés

Attention, être motivé ne veut pas dire avoir 0 doute !
Tes collègues ou employés peuvent être motivés, mais hésiter à se lancer car la petite voix dans leur tête les fait imaginer des scénarios catastrophe improbables.

Heureusement, ces peurs sont surmontables :

Les peurs les plus courantes des créateurs de contenu débutants, et leurs solutions.

En revanche, si une personne n’est clairement pas motivée : tu ne dois pas essayer de la convaincre de rejoindre le programme. Car elle va l’empoisonner.

C’est-à-dire :
- Fournir un minimum d’efforts, pour un minimum de résultats.
- Être pessimiste, et reporter son pessimisme sur les plus motivés.
- Abandonner, et faire perdre son temps au responsable du programme.

J’ai une anecdote à ce sujet.

J’ai accompagné une équipe dont les employés n’étaient pas motivés dès le départ :
- Ils reportaient les coachings.
- Ils ne cherchaient pas d’idées de leur côté.
- Ils rejetaient les idées extérieures car ils n'osaient rien dire.

Un jour, la plus motivée d’entre eux a publié son 1e post. Et dans le groupe Whatsapp des créateurs de l’entreprise, une autre a incendié son travail devant tout le monde sous prétexte que ça ne lui “ressemblait pas” alors qu’elle y avait investi pas mal de temps.

Crois-moi, tu ne veux pas créer du contenu aux côtés de gens pessimistes !‎

 

#3 - Une bonne culture d’entreprise

Si ton entreprise a une bonne culture d’entreprise :
→ Tes employés seront motivés pour parler de leur boîte à leur réseau.
→ Ils seront fiers d’en devenir les ambassadeurs.

Si ton entreprise a une mauvaise culture d’entreprise :
→ Tes employés seront gênés de parler de leur boîte à leur réseau.
→ Ils auront l’impression de se faire exploiter.

Ce qui détermine si ton entreprise a une bonne ou une mauvaise culture : c’est le pourcentage de personnes dans chaque camp.

‎Par exemple, si la majorité des membres de ton équipe ont le 1e comportement : vous avez une bonne culture d’entreprise.

Mais si la majorité de ton équipe a le 2e comportement : ta culture d’entreprise n’est pas assez bonne pour créer du contenu en équipe.

Car dès le départ, tout le monde cassera l’ambiance et la motivation globale. Le programme ne fera pas long feu.

Et vous aurez gâché du temps et de l’énergie pour rien.

Les étapes à suivre

Chaque entreprise est différente. Mais voici ce qui marche pour nous, et ce qu’on conseille à tous nos clients de faire !

1. Mettre en place un créneau d’écriture hebdomadaire

La création de contenu, c’est comme le sport : la motivation seule ne suffit pas pour tenir sur la durée.

Mais une chose peut suffire : créer une habitude.

Le principe est de commencer par 1 post/semaine. Et d’augmenter progressivement, à chaque fois que l’objectif actuel est devenu facile à accomplir.

Pour commencer, chaque membre de ton équipe doit poster au moins 1 fois par semaine. 

En dessous, ça va être difficile de construire quelque chose d’intéressant. Car ça ne vous permettra pas de construire une stratégie cohérente, et des habitudes solides.

→ 5 personnes qui postent 1 fois par semaine valent mieux que 30 personnes qui postent une fois de temps en temps.

Le responsable du programme d’employee advocacy doit donc mettre en place un atelier d’écriture hebdomadaire pendant lequel tout le monde écrira son post.

Ce créneau doit être inscrit dans l’emploi du temps, pour que personne ne dise “j’ai autre chose à faire”.

En fonction du nombre de créateurs, il peut durer de 45 minutes à 2h.

Il faut :
- Que chacun ait assez de temps pour écrire son post.
- Que votre coach Linkedin ait le temps de passer aider tout le monde.
- Pouvoir réunir tout le monde en même temps pour créer un élan collectif.

Bien entendu, si un créateur est responsable et sait ce qu’il fait : vous pouvez lui faire confiance et le laisser écrire ses posts de son côté en toute autonomie. Souvent, c’est facile pour les marketeux, ou les CM.

Par exemple, de notre côté chez copost :

La moitié de l’équipe est constituée de développeurs. Ils étaient motivés, mais ne connaissaient rien à la création de contenu. Logique.

Alors, on a mis en place un atelier d’écriture d’1h tous les vendredis à 11h.

Ça permet à chacun de consacrer ce temps uniquement à l’écriture de son post. Et de ne pas avoir à y penser le reste du temps. Aucune charge mentale : tu te pointes, t’écris ton post, et tu repars.

Et en tant que ghostwriter Linkedin, pendant cette heure :
- Je relis leurs posts (via copost)
- Je leur donne des conseils pour les améliorer.
- Je les aide sur leur stratégie, et réponds à leurs questions.

On est 7, et chacun publie 2 posts/semaine. En 1h, on écrit 14 posts

Chez nous, pas de Google Doc moche et latent. On écrit, relit, et nous aidons sur nos posts grâce à notre éditeur collaboratif, directement sur copost.

2. Former les créateurs

On ne peut pas demander à son équipe de créer du contenu, sans leur apprendre comment faire. Ça fait partie du jeu !

En fonction de votre équipe, vous avez 2 choix :
- Vous avez déjà un expert Linkedin parmi vous → il est en charge du programme.
- Personne ne maîtrise Linkedin → votre marketeux apprend, ou vous faites appel à un prestataire externe.

Votre expert Linkedin pourra profiter du créneau d’écriture pour former tout le groupe. Et aider chaque créateur individuellement.

La réussite du programme dépend des compétences que chacun développera !

Pour l’exemple, voici les résultats que l’on a réussi à obtenir avec 2 profils partis de 0 :

  • Élodie Poupon (notre Office Manager) → +80 000 vues en 3 mois.

  • Alexandre Sieg (l’un de nos développeurs) → +66 000 vues en 3 mois.

La chance que tu as, si tu lis ceci :

C’est que je peux t’aider à dépasser tes blocages et à faire plus de résultats, sans que tu n’aies rien à payer. Tu peux réserver un coaching individuel gratuit avec moi en cliquant sur ce lien.

Et si ton entreprise devient cliente de copost, je peux aider toute ton équipe à réussir votre stratégie d’employee advocacy gratuitement avec des sessions de coaching hebdomadaires.

Vous n’aurez rien à payer.

Mais quand trop d’équipes l’auront demandé, on ne pourra plus le proposer. Alors, ne tardez pas trop si ça vous intéresse d’en profiter.

3. Créer un système de motivation long terme

La clé de la réussite de votre programme, c’est la constance.

Tout au long de l’aventure, les résultats et les nouvelles relations gagnées en cours de route vont motiver chaque créateur de ton équipe. Mais en interne, c’est important de créer une source de motivation qui “portera” tout le monde, même quand les résultats ne seront pas là.

Cela peut être :
→ Une récompense pour avoir tenu son engagement.
→ Une punition fun pour avoir raté son post (attention, rien d’opressant)

On a échangé avec plusieurs entreprises là-dessus, et voici ce qu’elles ont mis en place :

  • Empirik : des cadeaux en fonction du nombre de vues réalisé.

  • Juno Journey : des primes mensuelles en fonction de l’engagement de chacun.

  • Iconoclass : si quelqu’un loupe son post, il met 50€ dans une jarre avec laquelle l’équipe se paye des verres à la fin du mois.

  • Copost (nous) : si quelqu’un loupe son post, il est nommé “le nul qui casse le streak” sur notre serveur Discord.

Dans le lot, certains sont nos clients. Et ils ont donc accès au “streak” sur copost (fonctionnalité inspirée par Snapchat et Duolingo).

C’est une flamme qui représente le nombre de jours consécutifs où chacun a tenu son objectif de posts hebdomadaire. Tant que chacun tient le rythme, elle brûle et augmente d’un point chaque jour. Mais si quelqu’un loupe son jour, elle s’éteint et le score de l’équipe revient à 0 !

C’est simple, depuis qu’on l’a mis en place il y a un mois : seules 2 personnes ont raté leur post, une fois chacune.

Aujourd’hui, notre flamme brûle depuis 7 jours. Mais si François loupe son post, elle reviendra à 0 pour toute l’équipe.

La clé pour réussir : patience et solidarité

Les résultats peuvent prendre du temps, et certains vont réussir plus vite que d’autres. Le but n’est pas de dire que certains sont meilleurs, et que d’autres sont moins bons.

Mais d’être reconnaissant de ceux qui réussissent le mieux, et de soutenir ceux qui ont le plus de mal. En bref, d’être une vraie équipe qui se soutient.

Le plus important n’est pas “combien de vues je fais” ou “combien de vues les autres font”. Mais combien de vues vous faites, tous ensemble.

Vous êtes une équipe.

Et Linkedin est un jeu d’équipe 💜

Si ce n’est pas déjà fait, tu peux :

  • Réserver un coaching LinkedIn gratuit avec moi (réservé aux équipes de +10 personnes).

  • Tester gratuitement copost, l’outil pour lancer ton équipe sur LinkedIn (14j gratuit, pas de CB requise).

Merci d’avoir lu, et à la semaine prochaine 💙

Malaury

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